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lunes, 18 de julio de 2016

El Primer Ministro Valls responde a las críticas y denuncia la trumpinsación de los espiritus

Après Nice, Valls répond aux critiques et dénonce la « Trumpisation » des esprits
Le Monde.fr avec AFP | 17.07.2016 à 01h24 • Mis à jour le 17.07.2016 à 13h09



Dans un entretien accordé au Journal du dimanche daté du 17 juillet, Manuel Valls prévient que « la menace terroriste est désormais une question centrale, durable » et que « d’autres vies seront fauchées ». Le premier ministre ajoute qu’« on pourrait refuser de voir la réalité en face, oublier, passer à autre chose, mais je dois la vérité aux Français : le terrorisme fait partie de notre quotidien pour longtemps. »
Face à cette menace, Manuel Valls regrette ce qu’il perçoit comme une surenchère sur la question sécuritaire. « Je vois bien, aussi, dans l’escalade des propositions, monter la tentation de remettre en cause l’Etat de droit », dit-il. « L’autorité est pour moi une valeur essentielle. Mais remettre en cause l’Etat de droit, remettre en cause nos valeurs serait le plus grand renoncement », s’inquiète le premier ministre.

Le chef du gouvernement fait notamment allusion aux propositions polémiques de Donald Trump, le candidat républicain à l’élection présidentielle américaine, qui préconise un strict contrôle des musulmans voulant entrer aux Etats-Unis. « La réponse à l’Etat islamique ne peut pas être la “Trumpisation” des esprits », prévient-il.

En una entrevista con el Journal du dimanche de fecha 17 de julio de Manuel Valls advirtió que "la amenaza terrorista es ahora un tema central, sostenible" y que "otras vidas serán acortadas." 

El primer ministro añadió que "uno podría negarse a mirar la realidad de frente, olvidar, seguir adelante, pero necesito decir la verdad a los franceses: el terrorismo será parte de nuestra vida cotidiana por mucho tiempo. "

Ante esta amenaza, Manuel Valls lamenta lo que percibe como una escalada del problema de seguridad. "Veo, también, en las propuestas de escalada, la tentación de socavar el estado de derecho", dijo. "La autoridad es para mí un valor esencial. Pero la pregunta del estado de derecho, socavar nuestros valores sería el mayor renuncia ", preocupa al primer ministro.

El jefe de gobierno se refirió en particular a las propuestas controversiales de Donald Trump, el candidato republicano a la elección presidencial de Estados Unidos, que aboga por un estricto control de los musulmanes que desean entrar en los Estados Unidos. "La respuesta al estado islámico no puede ser" "las mentes" trumpfisadas, advierte.

« Le risque zéro n’existe pas »



A propos de l’attentat de Nice, Manuel Valls confirme les propos de Bernard Cazeneuve, qui a évoqué une « radicalisation rapide » de Mohamed Lahouaiej Bouhlel. Il nie par ailleurs toute « divergence » avec son ministre de l’intérieur sur le caractère djihadiste de l’attaque. A l’inverse de Bernard Cazeneuve, le premier ministre avait rapidement parlé d’un islamiste radicalisé.

Au cœur d’une polémique sur les moyens mis à disposition pour sécuriser la ville de Nice, l’ancien ministre de l’intérieur se défend : « Certains politiques irresponsables disent que cet attentat était évitable. Mais le risque zéro n’existe pas. Dire le contraire, c’est mentir aux Français. »

Il rappelle que « les services de l’Etat et la ville de Nice avaient préparé ensemble ce 14-Juillet, comme ils avaient préparé le carnaval ou l’Euro », faisant référence aux critiques de Christian Estrosi, le président (Les Républicains, LR) de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur :

« Si Christian Estrosi, ancien maire de Nice, avait le moindre doute, il pouvait demander l’annulation du feu d’artifice. Il ne l’a pas fait. Il y a une différence nette entre la dignité d’Anne Hidalgo après les attentats de janvier et de novembre et l’attitude de Christian Estrosi. »

Visé également, sans être nommé, par le premier ministre, Alain Juppé (LR), avait estimé au lendemain de l’attaque que « si tous les moyens avaient été pris, le drame n’aurait pas eu lieu ». Dans Le Parisien du 17 juillet, le maire de Bordeaux est revenu sur ses propos :

« Je ne fais de polémique avec personne. Je connais la difficulté de la tâche, mais le fatalisme n’est pas une politique. Nous pouvons faire plus et mieux même si, bien sûr, le risque zéro n’existera jamais. »

Le candidat à la primaire de la droite pour 2017 a rejeté la responsabilité du climat politique délétère sur le gouvernement :

« Mais qui entretient cette polémique par la violence de ses propos ? Les ministres feraient mieux d’assumer leurs responsabilités plutôt que de s’en prendre à l’opposition. Les choses
doivent être dites. Et je me souviens de la réaction de François Hollande après les crimes abominables de Mohamed Merah… »

De son côté, le président du Sénat, Gérard Larcher (LR) se prononce dimanche en faveur de la prolongation de l’état d’urgence.  « Par solidarité, par nécessité, oui, j’y suis favorable, mais l’état d’urgence et l’unité nationale ne peuvent être les seules réponses à chaque fois qu’un attentat se produit. Les Français attendent plus du président de la République et du gouvernement », a déclaré M. Larcher dans un entretien au Journal du dimanche.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2016/07/17/manuel-valls-le-terrorisme-fait-partie-de-notre-quotidien-pour-longtemps_4970719_823448.html#Gu2WwyZH7MIXvvxr.99

Sobre el ataque en Niza, Manuel Valls confirmó las palabras de Bernard Cazeneuve, que habló de una "radicalización rápida" de Mohamed Lahouaiej Bouhlel. Negó también cualquier "divergencia" con su ministro del Interior en la naturaleza yihadista del ataque. A diferencia de Bernard Cazeneuve, el primer ministro había hablado de un islamista radicalizado rápidamente.

En el centro de una controversia sobre los medios disponibles para asegurar la ciudad de Niza, el ex ministro del Interior se defendió: "Algunos políticos irresponsables dicen que este ataque era evitable. Sin embargo, el riesgo cero no existe. Decir lo contrario está mintiendo a los franceses. "

Recordó que "los servicios del Estado y la ciudad de Niza habían preparado todo este 14 de julio, mientras se preparaban el carnaval o el euro", en referencia a las críticas de Christian Estrosi, Presidente (Los republicanos, RS ) de la región de Provenza-Alpes-Costa Azul:

"Si Christian Estrosi, ex alcalde de Niza, tenía alguna duda, podía solicitar la cancelación de los fuegos artificiales. No lo hizo. Hay una clara diferencia entre la dignidad de Anne Hidalgo después de los ataques de enero y noviembre y la actitud de Christian Estrosi. "

También se conoce, sin ser nombrado por el primer ministro, Alain Juppé (LR), había estimado que el día después del ataque que "si se tomaron todos los medios, la tragedia no habría ocurrido." En Le Parisien el 17 de julio, el alcalde de Burdeos volvió a sus palabras:

"No hago polémicas con nadie. Sé que la dificultad de la tarea, pero el fatalismo no es una política. Podemos hacer más y mejor, aunque, por supuesto, no existe el riesgo cero. "

El candidato por el derecho primario de 2017 atribuyó el pobre clima político en el gobierno:

"¿Quién mantiene esta controversia por la violencia de sus palabras? Los ministros harían mejor en asumir la responsabilidad en lugar de culpar a la oposición.

Varias cosas necesitan ser dichas. Y recuerdo la reacción de François Hollande después de los crímenes abominables de Mohamed Merah ... "

Por su parte, el presidente del Senado, Gerard Larcher (LR) decidirá el domingo en favor de la prórroga del estado de emergencia. "En solidaridad, por necesidad, sí, estoy a favor, pero el estado de emergencia y la unidad nacional, no puede ser la única respuesta cada vez que se produce un ataque. Los franceses esperar más del presidente y el gobierno ", dijo el Sr. Larcher en una entrevista en el periódico del domingo.

Nice : comment le discours du pouvoir sur les liens avec le terrorisme islamiste a évolué

LE MONDE | 17.07.2016 à 03h02 • Mis à jour le 17.07.2016 à 08h08 | Par Les Décodeurs



Le gouvernement a-t-il cafouillé dans sa communication sur les événements de Nice ? Les enquêteurs sont restés très prudents sur les motivations qui ont poussé Mohamed Lahouaiej Bouhlel à mener une attaque avec un camion, jeudi 14 juillet, à 22 h 45, sur la promenade des Anglais, et le restent encore, malgré la revendication de l’attentat par l’organisation Etat islamique. Mais le pouvoir, rapidement, a fait son choix.



Errores despues de la matanza de Nizza: Excelente escrito en El País: Mdrid.
 

martes, 16 de junio de 2015

Loi Macron : Manuel Valls bouscule sa majorité

Loi Macron : Manuel Valls bouscule sa majorité

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Pour la deuxième fois, le premier ministre a choisi le passage en force en dégainant l'article 49-3 de la Constitution. L'opposition a déposé une motion de censure.

Bis repetita. Manuel Valls a ressorti mardi le 49-3 et engagé la responsabilité du gouvernement sur la loi Macron. C'est la deuxième fois en moins de six mois que le premier ministre fait usage de cet article de la Constitution sur ce texte. Ce n'est pas vraiment une surprise. Le président et le premier ministre répètent qu'ils veulent «aller vite». Mardi soir, sur TF1, Valls l'a encore redit: «Il faut aller vite. Je ne veux pas soumettre mon pays à dix jours de guérilla parlementaire.» Il a ajouté: «S'il faut utiliser de nouveau l'engagement de la responsabilité en juillet, nous le ferons.»

Le premier ministre a choisi d'accélérer afin que ce texte, qui n'en a pas fini avec la navette parlementaire - il doit retourner au Sénat pour une deuxième lecture avant adoption définitive à l'Assemblée -, puisse être «adopté avant le 14 juillet», comme le souhaite François Hollande.
«Une Assemblée humiliée»
À l'Assemblée, où il a pris la parole en milieu d'après-midi ...

Link a Le Figaro 16 06 15

lunes, 15 de junio de 2015

Loi Macron : Nouvelles mesures.

Loi Macron : le gouvernement va à nouveau engager sa responsabilité devant l’Assemblée

Le Monde.fr avec AFP | • Mis à jour le

Le gouvernement avait déjà eu recours au 49-3 lors de la première lecture de la loi Macron.


Après avoir recouru à l’article 49, alinéa 3, de de la Constitution lors de la première lecture du projet de loi Macron, le gouvernement engagera à nouveau sa responsabilité, mardi 16 juin, pour permettre l’adoption sans vote du projet de loi « pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques » du ministre de l’économie, selon les informations du Monde. Même si cela n’est pas encore « certain à cent pour cent », selon une source gouvernementale, le 49-3 pourrait être engagé en fin de journée mardi, voire mercredi matin, soit un peu moins d’une semaine après l’adoption du texte en commission spéciale.


L’examen du texte en séance publique, qui devait commencer mardi à 21 h 30, sera avancé à 16 h 15, après la séance des questions au gouvernement, afin de laisser le débat commencer à une heure où de nombreux députés sont encore présents. Emmanuel Macron devrait prendre la parole, suivi du rapporteur général Richard Ferrand (PS), et éventuellement des autres rapporteurs du texte. Puis le gouvernement devrait déposer un certain nombre d’amendements — notamment la suppression de l’article sur la loi Evin et une réécriture de l’article sur l’ouverture dominicale des commerces dans les entreprises de moins de onze salariés —, qui seront ensuite soumis aux députés selon la procédure du vote bloqué, selon l’article 44-3 de la Constitution.

Une fois que ces amendements auront été intégrés au texte issu de la commission, Manuel Valls devrait donc annoncer qu’il engage la responsabilité de son gouvernement, conformément à l’article 49-3, sur le texte tel qu’il a été modifié en commission. Ce recours pourrait avoir lieu mardi, en fin d’après-midi.

Plus de un millier d’amendements

Le projet de loi, sur lequel plus de un millier d’amendements ont été déposés par des députés dans la matinée de lundi, sera considéré comme adopté, à moins que le gouvernement ne soit renversé par une motion de censure d’ici à la fin de la semaine. A gauche, les députés communistes devraient une nouvelle fois tenter, comme il l’avaient fait sans succès en février, de déposer une motion de censure « de gauche » contre le gouvernement. A droite, le président du groupe Les Républicains à l’Assemblée, Christian Jacob, a annoncé que l’opposition déposerait une motion de censure en réponse au recours au 49-3.

La décision d’engager la responsabilité du gouvernement a été prise lors d’un déjeuner lundi à Matignon en présence des rapporteurs et de présidents de commissions parlementaires. Lors du congrès du parti socialiste de Poitiers, au début de juin, le premier ministre avait affirmé sa volonté « d’aller très vite » sur la loi Macron, évoquant la possibilité du recours à l’article 49-3. « Manuel Valls fait le choix du courage, de la cohérence. Les débats ont eu lieu (quatre cent trente-sept heures), libérons maintenant notre économie », a ainsi commenté sur Twitter, Hugues Fourage, porte-parole du groupe PS. Comme lui, M. Ferrand et d’autres souhaitaient eux aussi en finir rapidement avec ce texte qui a déjà occupé le Parlement pendant de longues semaines. Texte qui devra toutefois en repasser par le Sénat, avant une lecture définitive à l’Assemblée, où le 49-3 pourrait très bien être de nouveau utilisé.


Le gouvernement avait déjà eu recours à cette arme de la Constitution en février, lors de la première lecture du texte du ministre de l’économie, face à l’opposition attendue de trente ou quarante députés PS hostiles, notamment, à l’extension de l’ouverture des commerces le dimanche.

Pour les « frondeurs » socialistes, ce nouveau recours au 49-3 est le signe que l’unité affichée au congrès de Poitiers n’était que de façade. L’ancienne ministre Aurélie Filippetti, signataire de la motion B des « frondeurs » constate ainsi que « tout le congrès s’effondre comme un château de cartes ». « C’est la preuve que tout cela était faux et que, sur ce texte, il n’y a pas de majorité ni au PS ni à l’Assemblée. »

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/06/15/loi-macron-le-gouvernement-va-a-nouveau-engager-sa-responsabilite-devant-l-assemblee_4654586_823448.html#5UOJXPyCYWGe1Iv4.99

jueves, 28 de mayo de 2015

Manuel Valls : « J'ai peur pour mon pays, qu'il se fracasse contre le FN »

Interrogado en el "Grand-Rendez vous" Europe 1 - i-TV - El mundo en las proximas elecciones departamentales, el primer ministro subrayó su "temor" de que Francia "fracase contra el Frente Nacional", que podría, según él, hacer una "puntuación sin precedentes" en esta elección, sino también ser capaz de ganar las elecciones presidenciales de 2017.

     "Mi angustia, te puedo contar sobre mi angustia, mi miedo por el país? Este es el FN con 30%, no en la segunda ronda, pero en la primera vuelta de las elecciones. "




Manuel Valls : « J'ai peur pour mon pays, qu'il se fracasse contre le FN »

Le Monde.fr avec AFP | • Mis à jour le http://bcove.me/4ixyov5s

Video

Interrogé lors du « Grand Rendez-vous » Europe 1 - i-Télé - Le Monde sur les élections départementales à venir, le premier ministre a insisté sur sa « peur » que la France « se fracasse contre le Front national », qui pourrait, selon lui, réaliser un « score sans précédent » lors de ce scrutin, mais aussi être en mesure de gagner l'élection présidentielle en 2017.
« Mon angoisse, puis-je vous parler de mon angoisse, de ma peur pour le pays ? C'est le FN à 30 %, pas au deuxième tour, mais au premier tour des élections. »

 

 

Alarmiste

« Les sondages indiquent que le Front national pourrait réaliser un score sans précédent » lors des élections départementales des 22 et 29 mars, a rappelé le premier ministre, avant de prédire et de mettre en garde :
« Il était déjà le premier parti de France aux élections européennes. Il peut l'être de nouveau à l'occasion des élections départementales (…). Est-ce que vous ne pensez pas qu'un Front national qui fait 25 % aux élections européennes, peut-être 30 % aux départementales, et ainsi de suite, ne peut pas gagner l'élection présidentielle ? Pas en 2022, pas en 2029, mais en 2017 ! »

Vives réactions à droite

Ces déclarations ont suscité de nombreuses réactions à droite. Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, les a jugé sur Radio J « extravagantes », et a accusé le chef du gouvernement de « surjouer » le danger Front national (FN). L'ex-ministre Union pour un mouvement popualire (UMP) Rachida Dati s'est dite elle aussi « très choquée » par ces propos qui risquent de « faire monter » la formation d'extrême droite. Un argument largement répété à droite depuis que Nicolas Sarkozy accuse le Parti socialiste (PS) de faire volontairement le jeu du FN, par calcul électoral.

« Vocabulaire inadapté », a taclé le président du MoDem, François Bayrou, dénonçant en particulier la « stigmatisation » de Mme Le Pen revendiquée par M. Valls. « Si vous voulez faire monter le Front national, vous faites ça : vous allez à la télévision et vous dites “je vous stigmatise” », a regretté M. Bayrou.

Même tonalité chez Emmanuelle Cosse, secrétaire nationale d'Europe Ecologie-Les Verts, pour qui on ne répond pas au FN « par l'angoisse » mais plutôt par la « bataille politique ». Xavier Bertrand, candidat à la primaire UMP de 2016, a lui raillé un premier ministre adepte de la « formule choc » plutôt que de l'action concrète.

Le président d'honneur du FN, Jean-Marie Le Pen, est allé au micro d'Europe 1 jusqu'à dénoncer une « phraséologie (…) assez fasciste » de la part de M. Valls, jugeant qu'il y avait « un peu de délire » dans de tels propos.

Valls restera « sans aucun doute » premier ministre

Interrogé par ailleurs sur la possibilité pour lui de rester à la tête du gouvernement en cas d'échec lors des départementales, Manuel Valls a répondu : « Sans aucun doute, mais là n'est pas la question. » Et d'ajouter :
« Je continuerai la mission que m'a confiée le président de la République, celle de réformer le pays. Mais ça n'est pas la question que se posent les Français. »
Le FN est immédiatement monté au créneau pour dire que M. Valls mettait au contraire « en jeu » son poste de premier ministre lors des départementales. « L'implication si prononcée et personnelle de Manuel Valls dans la campagne des départementales, au point d'en oublier ses obligations de chef du gouvernement en charge de la politique de la France, ne saurait être sans conséquence pour son avenir politique », a dénoncé le FN dans un communiqué.

En 2015, la France va « mieux »

Le premier ministre a par ailleurs profité de l'interview pour marteler que la France allait « mieux » en 2015, avec un certain nombre d'indicateurs certes « fragiles », mais « qui sont un encouragement », et marquent « le retour (…) de la confiance, et donc de la croissance ».

Le Parlement sera convoqué en session extraordinaire en juillet, a-t-il aussi confirmé, en répétant « ne rien exclure » quant à un éventuel nouvel usage de l'article 49-3 permettant de faire adopter un texte sans vote.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/03/08/manuel-valls-considere-que-le-fn-peut-gagner-l-election-presidentielle-des-2017_4589494_823448.html#F8AVyDuT6hyOH7ID.99

martes, 26 de mayo de 2015

Asile en France.


Asile: quelques faits que le gouvernement Valls devrait connaître

(mise à jour : )


Le gouvernement français n’a manifestement pas bien compris les propositions que la Commission européenne a rendu publiques le 13 mai pour faire face à l’afflux d’immigrés et de réfugiés en Europe (lire aussi: «le gouvernement à quota de la plaque») en s’opposant à ce que justement elle ne propose pas... Quelques faits.

QUE PROPOSE LA COMMISSION EUROPÉENNE ?
Une partie importante des étrangers qui pénètrent illégalement sur le territoire de l’UE, parfois au risque de leur vie, le fait pour fuir des persécutions ou la guerre et non pour chercher du travail. Ce n’est pas un hasard si le nombre de demandes d’asile a explosé en 2014 avec 626 065 dossiers (+ 45% par rapport à 2013), la situation internationale se dégradant. Or, la charge est actuellement supportée pour l’essentiel par les pays frontaliers de l’Union, la Grèce et l’Italie au premier chef. Bruxelles propose donc de répartir le traitement des demandes d’asile entre les pays européens.

Ce mécanisme d’urgence, qui sera finalisé mercredi prochain, ne s’appliquera qu’aux étrangers qui «ont manifestement besoin d’une protection internationale». L’exécutif européen va établir une liste de nationalités qui seront réputées être dans ce cas et dont feront sans doute partie les Syriens, les Erythréens, voire les Somaliens. Dans le pays de premier accueil, des représentants de Frontex (l’agence européenne des migrations), d’Europol (agence de coordination policière) et des autorités nationales chargées d’accorder l’asile procéderont à un premier examen des dossiers pour écarter les demandes manifestement infondées.

Ensuite, ces personnes seront réparties entre les Vingt-Huit selon une clé basée sur la démographie, la richesse, les efforts précédents, etc. Ainsi, l’Allemagne devra en accueillir 18,42%, la France 14,17%, l’Italie, 11,84%, etc. Soit, en se basant sur les chiffres de 2014, un «surplus» de 26 000 demandeurs d’asile dans l’Hexagone, et de 7 000 régularisés. Ce sont les autorités nationales qui, au final, accorderont ou non le statut de réfugiés. A charge pour elles, aussi, de reconduire à la frontière les déboutés. 

En outre, la Commission demande aux Etats d’accueillir 20 000 Syriens qui ont déjà obtenu le statut de réfugié et qui se trouvent actuellement dans des pays tiers (Turquie, Jordanie, Liban).Pour entrer en vigueur, cette réglementation devra être adoptée par une majorité qualifiée d’Etats, le Royaume-Uni, l’Irlande et le Danemark ne participant pas au vote puisqu’ils bénéficient d’un opt-out (une option de retrait) sur la politique d’immigration.

Pour continuer


Doutes sur la sécurité du chef de l’Etat

LE MONDE | | Par
On a tiré un coup de feu à l’Elysée. Une balle de calibre 9 mm provenant d’un pistolet Glock, l’arme de service des hommes du Groupe de sécurité et de protection de la présidence de la République (GSPR). Le projectile, tiré par l’un des policiers chargé de protéger le président dans des toilettes situées au rez-de-chaussée du palais, a ricoché avant de se ficher dans le mur. C’est peu dire que la détonation, dans l’univers ouaté du Château, aurait dû faire du bruit. Elle a pourtant été discrètement étouffée, et l’impact de la balle promptement rebouché au mastic. A en croire certains, le commandement militaire, chargé de la sécurité à l’intérieur de l’Elysée, n’aurait pas été directement avisé de l’incident. Il se murmure même que le président non plus, informé par un écho dans la presse, quelques jours plus tard. Son entourage dément. Mais le malaise demeure.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/05/26/doutes-sur-la-securite-du-chef-de-l-etat_4640299_823448.html#w7DBeaRjKhJ2RBOf.99

Link 

martes, 10 de marzo de 2015

Vive empoignade entre Manuel Valls et Marion Maréchal-Le Pen à l'Assemblée

VIDEO. Vive empoignade entre Manuel Valls et Marion Maréchal-Le Pen à l'Assemblée

Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 10/03/2015 à  20:04, mis à jour à  20:13





Répondant à la députée FN qui l'accusait de "mépris crétin", le Premier ministre a fustigé le parti d'extrême droite à l'Assemblée. Et réitéré sa crainte du "véritable danger" d'un FN qui arriverait en tête des élections départementales les 22 et 29 mars.

"Madame, jusqu'au bout je mènerai campagne pour vous stigmatiser et pour vous dire que vous n'êtes ni la République, ni la France", a rétorqué le Premier ministre aux propos de Marion Maréchal-Le Pen qui l'accusait de "mépris crétin".

La députée FN avait, lors de la séance des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale, attaqué le Premier ministre sur ses "prises de parole obsessionnelles" et "de plus en plus injurieuses" avec son offensive contre le FN ces derniers jours. "Gardez-donc votre mépris crétin et vos leçons de République pour votre propre parti", a-t-elle affirmé.

"Vous trompez les petits gens, les ouvriers, les agriculteurs"

"Si, en deux minutes, il fallait résumer l'outrance, la démagogie et le vrai visage de l'extrême-droite, vous venez de le faire parfaitement", a répliqué Manuel Valls. "Vous trompez les petits gens, les ouvriers, les agriculteurs, vous trompez ceux qui souffrent. Alors, il est temps que dans ce pays, il y ait un débat, qu'on déchire le voile, la mascarade qui est la vôtre", a lancé le Premier ministre en réponse à l'élue du Vaucluse.

"Il est temps que nous affirmions tous, comme je l'ai fait ici le 13 janvier, les valeurs de la République, la France mais aussi les actes. Et la politique de mon gouvernement contre la pauvreté, pour l'école, pour les valeurs de la République, pour redresser le pays, c'est aussi une réponse à ce que vous portez", a-t-il poursuivi.
"Votre politique mènerait le pays à la ruine"

"Oui, je mène campagne", a-t-il répété à plusieurs reprises, du fait d'une "élection importante" mais aussi "pour l'image notre pays, pour notre démocratie" du fait du "véritable danger" d'un FN qui arriverait en tête des élections départementales des 22 et 29 mars.

Manuel Valls a dénoncé les "dizaines" de militants et candidats FN qui tiennent des "propos antisémites, racistes, homophobes, sexistes" et qui ne sont pas "des cas isolés" mais des "récidivistes" "Je ne confonds pas, Madame, a-t-il accusé, les électeurs du Front national, je ne confonds pas les Français avec vous et je veux leur dire que vous les trompez, leur dire que votre politique mènerait le pays à la ruine".


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http://www.lexpress.fr/actualite/politique/vive-empoignade-entre-manuel-valls-et-marion-marechal-le-pen-a-l-assemblee_1659956.html#xtor=CS3-5076

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Interpretación personal de la intervención

En respuesta a la diputada del  FN MP que lo acusó de "equivocado", el primer ministro criticó al partido de la extrema derecha en la Asamblea, y reiteró su temor al "peligro real" de que el FN sea elegido en las elecciones departamentales el 22 y 29 de marzo.

"Señora, voy a dirigir la campaña como manera de estigmatizar y decirle que Ud. no es ni la República, ni Francia", respondió el primer ministro a Marion Maréchal-Le Pen que lo acusó de " despreciable idiota”.

La diputada del FN atacó el Primer Ministro por su ofensiva contra el FN en los últimos días.

"Ustedes son gente equivocada que engaña a los trabajadores, y a los  agricultores"

"Si, en dos minutos, tuviera que resumir en exceso, la demagogia y la verdadera cara de la extrema derecha, Ud. lo acaba de hacer a la perfección", respondió Manuel Valls. "Ustedes son gentes equivocadas, que engañan a los trabajadores, y a los campesinos, y a los que sufren. Por lo tanto, es el momento que en este país, haya un debate que rasgue el velo, la mascarada que es la suya" respondió el primer ministro.

El primer ministro señalo: que es hora de que nosotros afirmemos a todos, como lo hice aquí el 13 de enero, no solo los valores de la República, de Francia, sino también los hechos, y la política de mi gobierno en contra de la pobreza, para defender la escuela, los valores de la República, para enderezar el país, es también una respuesta a lo que Ud. representa, continuó.
"Su política llevaría al país a la ruina"

"Sí, yo dirijo esta campaña", repitió varias veces, no solo debido a una "elección importante", sino también "para defender la imagen de nuestro país, para defender nuestra democracia" por el "peligro real" de que el FN gane las elecciones departamentales el 22 y 29 de marzo.

Manuel Valls denunció a las "decenas" de militantes y candidatos de FN que son",, antisemitas racistas homófobos, sexistas" "y que no son casos aislados", sino "reincidentes". "Yo no me equivoco, señora le dijo, y  acusó a los votantes del Frente Nacional, yo no confundo a los franceses con ustedes y quiero decirles que están equivocados, dígales que su política llevaría al país a la ruina ".

martes, 17 de febrero de 2015

Loi Macron. Manuel Valls.

Valls déterminé à continuer les réformes

        Publié le 17/02/2015 à 16:29


Après avoir eu recours au 49-3 mardi devant l'Assemblée nationale sur le projet de loi Macron, le premier ministre a assuré, sur TF1, avoir "du carburant pour continuer". De son côté sur France 2, Emmanuel Macron a vu dans cette décision "la preuve que ce gouvernement continue à avancer, continue à réformer".


Link a Le Figaro


Loi Macron: Manuel Valls a recours à l'article 49-3
Le premier ministre Manuel Valls engage la responsabilité du gouvernement dans le cadre du vote de la loi Macron mardi après-midi à l'Assemblée nationale. "Le gouvernement m'a autorisé à engager la responsabilité" de l'exécutif, a annoncé le chef du gouvernement devant les députés, confirmant le recours à la procédure dite du 49-3.

Article et vidéo


FRANCE Loi Macron : François Hollande sur la corde raide
La loi Macron ne sera finalement pas soumise au vote des députés. Le Premier ministre a préféré le recours à l'article 49.3 plutôt que de risquer de manquer la majorité à une ou deux voix près. "Stupéfiant", pour The Wall Street Journal.

"Hollande évite le vote", estime The Wall Street Journal, ce 17 février, après l'annonce du Premier ministre Manuel Valls d'avoir recours à l'article 49.3 pour éviter que la loi Macron soit rejetée par les députés. Le quotidien économique rappelle que le texte était vu dans les rangs mêmes du Parti socialiste comme un "ensemble controversé de réformes économiques". Le recours à l’article 49.3 doit sauver cette loi pensée pour "secouer les règles de l’économie française".

"Cette manœuvre d’urgence affiche au grand jour, et d’une manière stupéfiante, la corde raide sur laquelle avance François Hollande pour imposer sa politique" en faveur des entreprises, constate le quotidien américain. "Les députés 'frondeurs' risquaient de torpiller la loi, mais aussi de relancer les doutes sur la capacité de la majorité parlementaire à continuer de gouverner."

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Why Adam Smith Would Welcome Le Loi Macron

The way that President Hollande and his Socialist government have had to push Le Loi Macron through the Chamber of Deputies shows how resistant France is to even the mildest deregulation. They actually had to prevent it coming to a vote and simply declare that it moved on to the Senate as it was highly likely that they were going to lose a vote. This leaves them open to a vote of confidence and if they lose that (which they almost certainly won’t) then there’s the possibility of a snap election. And all of this is over what is really a very minor set of deregulatory steps. There’s about 100 of them, but they’re all in themselves terribly minor: even if Adam Smith would approve of at least some of them.

Here’s what they actually had to do to get it through:

    The government of President François Hollande pushed a contentious package of economic overhauls through the lower house of Parliament Tuesday in a rare exercise of constitutional powers that revealed deep rifts within his Socialist party.

    Mr. Hollande’s government became the first in nearly a decade to invoke Article 49 of the French Constitution—which allows legislation to bypass an initial vote in the lower house and proceed directly to the Senate for review—in a bid to rescue a bill designed to shake up France’s rule-bound economy.

There’s a few bits and pieces about Sunday opening hours for shops which will please those who like to shop on the weekends but not really affect the economy all that much:

    Martine Aubry, the daughter of former EU commission president Jacques Delors and an influential socialist party figure, has attacked the plan to increase the number of Sundays shops can open from five a year to 12, calling it “social regression”. The green party and the far left parties are expected to oppose the bill too.

Allowing a shop to open one Sunday a month doesn’t sound all that much like social regression but they see things differently in France. and that’s a useful confirmation of the old saw that there’s no one quite as conservative as a socialist politician. But this is the part that would have had Adam Smith cheering:

    Instead, the government focuses on more than 100 individual measures aimed at a step-by-step liberalization in sectors that to a certain degree still enjoy privileges dating back to the French Revolution in the late 18th century.

    Some professions – for instance notaries, lawyers and bailiffs – will face more competition in the future.

One way to think of Wealth of Nations is as an extended argument against the guild economy. An economy where various people held privileged positions by right of licence, regulation or law, and people were not allowed to compete with them. And, much more than Northern European economies, the Southern European ones (and in this sense France is in the South) are still rather like this. The bourgeois (and the petit bourgeois as well in many cases) achieve a privileged position doing whatever it is and then the law protects them from competition. This even extends to things like ski instructors at French alpine resorts: you must have a French licence to be able to teach anyone. Not dissimilar to the licensure regulations that are infesting the US to be honest.

Smith’s point was that such regulations and restrictions were just great for the people doing the providing of goods and services. But very much less beneficial for the people doing the consuming of such goods and services. And as, to Smith at least, the point and purpose of the economy was to provide opportunities for consumption such restrictions were a bad idea. France is currently taking what are very much baby steps and some 270 years after Smith made his point but then the French have never really taken to Smith as a theorist. Still, it’s to be applauded as it will make things better for those consumers.

My latest book is “23 Things We Are Telling You About Capitalism” At Amazon or Amazon UK. A critical (highly critical) re-appraisal of Ha Joon Chang’s “23 Things They Don’t Tell You About Capitalism”.

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París. 18.02.15

El gobierno socialista francés aprobó este martes por decreto un polémico proyecto de ley de reformas a la economía, ante el riesgo de que diputados de su propio partido lo hicieran fracasar, abriendo una crisis política de consecuencias imprevisibles.

El texto, conocido como ley Macron por el nombre del ministro de Economía, Emmanuel Macron, prevé medidas como la apertura de comercios 12 domingos al año, la revisión de las tarifas que aplican desde jueces hasta notarios, la apertura de los transportes urbanos a la competencia o medidas para flexibilizar el mercado laboral, la vivienda y el medio ambiente.
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Valls supera ampliamente la moción de censura. 20.02.15

UCRANIA: INFORMACIÓN BÁSICA SITUACIONAL: BITACORA DE PERCY CAYETANO ACUÑA VIGIL.

  UCRANIA: INFORMACIÓN BÁSICA  SITUACIONAL.  Percy Cayetano Acuña Vigil. En este escrito se ha registrado información básica situacional con...