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martes, 2 de junio de 2015

Sarkozy en el banquillo. Maquillaje a los Republicanos

Remaniement en vue chez Les Républicains : NKM sur la sellette

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par

Nicolas Sarkozy et Nathalie Kosciusko-Morizet, le 30 mai.
Place au remaniement. Après avoir lancé son nouveau parti, Les Républicains, samedi 30 mai à Paris, Nicolas Sarkozy s’attelle à la constitution de la nouvelle direction. L’ex-chef de l’Etat a prévu de mener des « consultations » sur le sujet cette semaine, avant de présenter une équipe renouvelée le 9 juin, lors du premier bureau politique du mouvement. Des ajustements sont prévus. « Une refonte de l’organigramme est nécessaire », a indiqué M. Sarkozy à un proche. « On a modifié le nom et le logo donc on ne va pas répartir avec la même équipe », précise son entourage.

Principal changement possible : l’éviction de la numéro deux de l’ex-UMP, Nathalie-Kosciusko-Morizet. Celle qui exerçait la fonction de vice-présidente est sur la sellette. M. Sarkozy ne supporte plus la « liberté de parole » qu’elle revendique et dont elle abuse à ses yeux depuis qu’il l’a nommée, fin 2014. « Il trouve qu’elle joue trop perso », résume un sarkozyste. Récemment, il n’a pas apprécié qu’elle se prononce publiquement pour une baisse massive des impôts de 100 milliards d’euros dès 2017 en cas d’alternance ni qu’elle assiste à la cérémonie au Panthéon, présidée par François Hollande, le 27 mai. Depuis six mois, elle n’a cessé de se démarquer des positions de M. Sarkozy, que ce soit sur l’opportunité d’organiser une journée de réflexion sur l’islam, sur l’interdiction des menus de substitution dans les cantines scolaires ou sur le « ni-ni » lors de la partielle du Doubs.

Pour M. Sarkozy, un minimum de soutien de celle qui fut sa porte-parole pendant la campagne présidentielle de 2012 serait pourtant la moindre des choses, lui qui juge qu’elle lui doit tout, ou presque. « Si elle a été numéro deux, c’est parce que je l’ai voulu car elle est très minoritaire dans le parti », a-t-il remarqué devant un proche. « NKM ? Elle représente une proportion non négligeable de 1 % des adhérents de l’UMP », se moque un sarkozyste.

NKM, « entièrement libre »

M. Sarkozy en a tiré une conclusion : il n’entend pas maintenir NKM dans la direction si elle continue à le contredire. « On ne peut pas à la fois être dans l’organigramme et avoir une liberté de parole totale », juge-t-il. Pour autant, son départ n’est pas encore acté. Le président du parti laisse entendre que la balle serait dans le camp de NKM. Devant son entourage, il a posé la question en ces termes : « Met-elle le collectif avant sa liberté de parole ou le contraire ? A-t-elle envie de s’astreindre au minimum de collectif que suppose le poste de numéro deux ? »

L’ex-chef de l’Etat hésite car, en la mettant dehors, il perdrait d’un coup tout ce que NKM incarne au sein du parti : une femme jeune et moderne qui incarne une ligne modérée à droite. « L’autre souci, c’est qu’en la virant, elle deviendrait une ennemie de l’extérieur », complète un sarkozyste.

La députée de l’Essonne, elle, paraît avoir déjà intégré sa sortie, allant jusqu’à parler au passé de son travail au sein du parti. Lundi, elle a indiqué sur RTL avoir « été heureuse » d’avoir piloté la refonte des statuts du parti. Interrogée sur son maintien ou non à son poste, elle a répondu simplement : « On verra bien ! » Défendant une nouvelle fois sa liberté d’expression, elle n’a pas hésité à tenir des propos désobligeants à l’égard de M. Sarkozy. Quand France 3 a évoqué dimanche la perspective d’un match-retour Hollande-Sarkozy en 2017, elle a lâché : « Si l’Histoire a l’air de repasser les plats, ça intéressera pas… »

Sortir de la direction pourrait lui permettre de prendre son autonomie vis-à-vis de M. Sarkozy, afin de voler de ses propres ailes. Décidée à défendre sa « sensibilité », NKM se dit d’ailleurs « entièrement libre » et ne cache pas son envie de se présenter à la primaire à droite pour la présidentielle. 

Manifestement sur le départ, elle veille toutefois à ne pas couper tous les ponts. Son entourage assure qu’elle pourrait rempiler dans l’équipe dirigeante du parti, « si on lui proposait une mission intéressante ». Comprendre : la rédaction du projet présidentiel. Sa mission sur les statuts « est terminée, il peut y en avoir d’autres », a-t-elle d’ailleurs précisé.

Woerth devrait être promu

De son côté, le numéro trois du parti, Laurent Wauquiez, devrait être reconduit. M. Sarkozy vante régulièrement son « talent », soulignant que sa ligne droitière plaît aux militants. Le maire du Puy-en-Velay, qui s’apprête à être tête de liste pour les élections régionales en Rhône-Alpes-Auvergne en décembre, veut rester à son poste. « Je souhaite poursuivre ma mission. Je n’ai pas l’habitude de m’engager que pour quelques mois mais d’aller jusqu’au bout de ma mission », a-t-il déclaré dimanche, sur BFM-TV.Lire aussi :


L’ancien ministre du budget, Eric Woerth, qui vient d’être blanchi dans l’affaire Bettencourt, doit pour sa part être promu. M. Sarkozy ne cesse de vanter les qualités de celui qui occupe déjà le rôle de conseiller économique du président du parti. Il l’a même fait applaudir samedi, lors du congrès de refondation de l’UMP, en saluant « un très honnête homme et un républicain ».

D’autres personnalités devraient monter en garde, comme le maire de Tourcoing, Gérald Darmanin, qui occupait la fonction de secrétaire général adjoint aux élections dans la précédente direction ; l’ex-ministre Pierre Lellouche, qui était délégué de l’UMP aux relations internationales ; la députée Isabelle Le Callennec, qui était porte-parole, ou encore Lydia Guirous, ex-secrétaire nationale de l’UMP aux valeurs de la République et à la laïcité, sur laquelle M. Sarkozy ne tarit pas d’éloges. La navigatrice Maud Fontenoy, qui vient de s’engager dans le parti Les Républicains, devrait quant à elle être nommée secrétaire nationale à l’environnement. Un des domaines de prédilection de… NKM.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/06/01/remaniement-en-vue-chez-les-republicains-nkm-sur-la-sellette_4645218_823448.html#HsRZgW6kc2Wd8riC.99

domingo, 31 de mayo de 2015

Sarkozy organiza a los republicanos para al año 2017

Sarkozy met les Républicains en ordre de bataille pour 2017

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par


Nicolas Sarkozy a exhorté la droite à créer une "République de la confiance", lors du congrès fondateur des Républicains, samedi, porte de la Villette à Paris.
Nicolas Sarkozy a mis son nouveau parti, « Les Républicains », sur la rampe de lancement de la reconquête de l'Elysée. Samedi 30 mai, lors d'un congrès de refondation, l'ancien président de la République a réussi son pari : offrir l’image d’un parti rassemblé autour de sa personne. Au cœur de cette grand’messe sarkozyste marquée par des huées contre les rivaux François Fillon et Alain Juppé, chaque personnalité a eu le droit à son temps de parole à la tribune. Nicolas Sarkozy a conclu par un discours de quarante minutes, où il a dépeint sa vision d'une « République de la confiance ». « La République n'est pas menacée par la force mais par la faiblesse, le renoncement, le reniement », a-t-il déclaré.

En cette journée de baptême, devant près de 10 000 militants acquis à sa cause, Nicolas Sarkozy n'a pas apporté de grandes nouveautés à l'argumentaire qu'il déroule depuis sa campagne pour la présidence de l'UMP, à l'automne 2014. Décrire sa République idéale lui permet d'abord de dresser le réquisitoire du quinquennat de François Hollande. Alors que cette journée était consacrée à la célébration des valeurs de la droite, Nicolas Sarkozy a passé la moitié de son discours à pilonner la majorité socialiste. « La gauche ne défend pas la République, la gauche la caricature avec la théorie du genre, avec le pédagogisme, avec le il est interdit d'interdire, avec le nivellement, avec l'égalitarisme », a-t-il martelé, avant d’accuser son successeur de préférer « aller serrer la main de Fidel Castro au lieu d'aller rendre hommage au peuple russe ». Une référence à l'absence du président français aux cérémonies du 9 mai à Moscou.

La famille, l’autorité, le travail...

Mais le long développement de Nicolas Sarkozy sur la « République de la confiance » lui permet surtout de rappeler les marqueurs de la droite, en ébauchant le portrait d'une société fondée sur des valeurs comme la famille « première institution de la société », le travail qui ne doit « pas être moins payé que l'assistanat », l'autorité sans laquelle « il n'y a pas d'Etat de droit » ou encore l'école, qui « a toujours été fondée sur le mérite, sur l'effort et sur l'excellence ».
Evoquant « l’héritage de la civilisation chrétienne », il a rappelé à plusieurs reprises son attachement au concept d'assimilation. « La République reste ouverte aux autres mais rappelle à celui qui vient d'arriver que c'est à lui de s'adapter à notre mode de vie et pas à nous d'en changer », a-t-il lancé sous les applaudissements et les « Nicolas, Nicolas ! » habituels. L'ancien président n'a pas hésité à peindre un tableau sombre de la situation de la France, décrivant un pays soumis à « une terrible crise de confiance » et pas si éloigné du « grand effondrement ».



Les rivaux de Nicolas Sarkozy, Alain Juppé, Bruno Le Roux et François Fillon, ont pu s'exprimer au congrès fondateur des Républicains, non sans avoir été hués par les militants.

La petite musique de la primaire

Avant l'intervention finale de Nicolas Sarkozy, ses rivaux à la primaire pour la présidentielle de 2017 ont tous affirmé vouloir jouer collectif, tout en faisant entendre leur propre musique. Chacun a mis un thème en avant : la nation pour Alain Juppé, la liberté pour François Fillon, le renouveau pour Bruno Le Maire et le travail pour Xavier Bertrand.
Avant son discours, Alain Juppé a été massivement sifflé par les militants sarkozystes présents lorsqu'il est monté à la tribune. De la même manière qu'il avait été chahuté lors du conseil national de l'UMP, en janvier. « Ça me fait de la peine, mais ça ne change pas ma détermination », a réagi le maire de Bordeaux, dont les partisans tentaient de couvrir les sifflets en applaudissant. Réaffirmant sa volonté d'« incarner une alternative heureuse pour la France », le principal rival de Nicolas Sarkozy a promis de « rassembler les Français autour d'un projet qui leur donne confiance ». Jugeant nécessaire de « montrer le cap », celui qui est donné vainqueur de la primaire dans certains sondages a beaucoup insisté sur le thème de la « nation », un terme qu'il a prononcé une dizaine de fois. Il a notamment appelé au « sentiment national » pour « donner au projet collectif du pays un supplément d'âme ». Selon lui, en 2017, « c'est une espérance qu'il faudra faire naître. Il faut donner un sens aux réformes », avec « deux conditions : rassembler et rassembler autour d'un projet ». M. Juppé s'est posé comme le candidat de l'apaisement, afin de se démarquer du profil plus clivant de l'ancien chef de l'Etat. « On ne fait rien de bon dans la division, ni dans la recherche méthodique du clivage », a-t-il souligné, rappelant que « le rôle d'un dirigeant n'est pas de susciter les conflits mais de les apaiser ».

« Pas un ripolinage du passé »
Avant le maire de Bordeaux, François Fillon a lui aussi été copieusement sifflé lorsqu'il est monté à la tribune. L’ex-premier ministre reste perçu par une large part des militants comme un traître, deux jours après le procès qui s'est tenu dans l’affaire Jouyet, où il est accusé d'avoir incité l'Elysée à mettre des bâtons dans les roues de l’ancien chef de l'Etat. Loin de se laisser démonter par cet accueil plutôt frais, M. Fillon a tenu à marquer sa singularité, en prévenant : « Notre congrès ne peut pas être un ripolinage du passé mais un nouveau départ. » « Lorsqu’on prend la République comme étendard, il ne nous est pas permis de décevoir. »
Soulignant que le nouveau parti ne devait pas être « qu’une machine électorale » au service de M. Sarkozy et « une caserne où les adhérents viendraient chercher les ordres », M. Fillon a revendiqué son droit de présenter sa candidature à la primaire : « Chez nous, Républicains, tous les débats sont ouverts, toutes les compétitions possibles dès lors que le respect prévaut. Comment pourrions-nous inviter les Français à aimer davantage la liberté, si nous ne sommes pas le mouvement où chacun peut aller au bout de ses mérites et de ses convictions ? » A la fin de son discours, la salle l'a finalement chaleureusement applaudi.
Autre rival de M. Sarkozy, Bruno Le Maire s'est de nouveau présenté comme le candidat incarnant une nouvelle génération à droite. « Faisons tomber les murs de cette classe politique qui ne se renouvelle jamais. Vous butez contre les mêmes visages ? Nous allons vous en offrir de nouveaux. Vous butez contre les mêmes idées ? Nous allons en défendre de nouvelles », a promis celui qui s'était présenté à la présidence de l'UMP comme « candidat du renouveau ».

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/politique/article/2015/05/30/sarkozy-met-les-republicains-en-ordre-de-bataille-pour-2017_4644145_823448.html#7vHSycOL0BHEOzs4.99

miércoles, 27 de mayo de 2015

Sarkozy acusa a Hollande.

  Sarkozy acusó a Hollande de haber querido evitar que la UMP cambie su nombre por el de "republicanos" 

Nicolas Sarkozy defendió, martes 26 de mayo en un mitin en Le Havre (Seine-Maritime) el nombre que quería para su partido, apenas unas horas después de que la Justicia ha autorizado a la UMP para llamarse  "Los republicanos ". El Tribunal de Primera Instancia de París desestimó la madrugada del martes por la tarde el llamamiento lanzado por los partidos o asociaciones de izquierda y 143 individuos, a impugnar la legalidad del nuevo nombre de su partido deseado por el ex jefe de la Estado

Sarkozy ha hablado contra la mayoría "de la izquierda, que son los primeros socialistas y luego los republicanos. Señaló que ellos son los republicanos antes gaullistas, liberales y centristas, y que cuando el general de Gaulle creó la Agrupación del Pueblo francés, esto no impidió que la gente se sienta profundamente francésa, aunque no fueran miembros del partido.

Sarkozy accuse Hollande d’avoir voulu empêcher l’UMP de se rebaptiser « Les Républicains »

Nicolas Sarkozy a défendu, mardi 26 mai, lors d'un meeting au Havre (Seine-Maritime) le nom qu'il a voulu pour son parti, quelques heures après que la justice a autorisé l'UMP à s'appeler « Les Républicains ». Le tribunal des référés de Paris a rejeté mardi en début d'après-midi le recours lancé par des partis ou associations de gauche et 143 particuliers, visant à remettre en cause la légalité du nouveau nom voulu par l'ex-chef de l'Etat pour son parti.

L'ancien chef de l'Etat a accusé son prédécesseur — l'appelant de manière ironique « Moi je » — d'avoir été à l'origine de cette procédure judiciaire. « Je n'avais pas prévu que “Moi je” voudrait choisir le nom de notre famille politique (…) A-t-on déjà vu un président de la République fixer le nom du grand parti d'opposition ? », s'est-il indigné. « Les gens qui n'ont pas de courage et pas de convictions, ils essaient de gagner sur tapis vert en allant devant la justice. » « Manque de chance ! », a-t-il ironisé, avant de s'adresser directement à M. Hollande : « Je veux dire à “Moi je” qu'il peut être sûr de garder le nom de socialiste, car, nous, on n'est pas socialistes, pas communistes et on n'a pas envie de le devenir ! »

M. Sarkozy a lancé une nouvelle salve à l'encontre de la majorité : « A gauche, ils sont d’abord socialistes et ensuite républicains. Nous, nous sommes républicains avant d’être gaullistes, libéraux et centristes. » « Quand le général de Gaulle avait créé le Rassemblement du peuple français, cela n'empêchait pas les gens de se sentir profondément français, même s'ils n'étaient pas adhérents du parti du Général », a-t-il fait valoir.

continuer

sábado, 17 de enero de 2015

Les conséquences et après.


Alain Juppé - Nicolas Sarkozy
Je partage cette nouvelles de la politique française afin d'enregistrer les idées qui façonnent ma vision de l'avenir chez moi et ma circonstance particulière. Aujourd'hui, ce est le centre du monde et dans toute l'Europe vit autour de cette action à la suite de ces idées.

Sarkozy s'incruste sur une photo historique. Et on ne voit que lui.



Referencia



Représentation de Mahomet : "L'islam a perdu de vue sa propre histoire"

L'Obs Peut-on dire que l’islam interdit la représentation du Prophète et, par extension, de toute figure humaine?
Sophie Makariou Il n’y a pas stricto sensu de condamnation de la figuration dans le Coran. Ce qui est illicite, c’est l’adoration des images et des idoles.
Dans l’arabe archaïque, qui est celui du Coran, on appelle idoles les objets tridimensionnels, donc les sculptures – les bétyles –, qui sont censées être le siège de divinités. Mais selon l’appartenance à l’une ou l’autre des familles musulmanes, les deux plus grandes étant le sunnisme et le chiisme, les modes d’interprétation peuvent différer.

L'Islam a perdu de vue sa propre histoire


"Charlie Hebdo" : Alain Juppé, impeccable, fait la leçon à un Sarkozy fébrile


Décidément, Alain Juppé s’affirme au fil des mois comme le prétendant le plus sérieux et le plus légitime de la droite pour la présidentielle de 2017.

Je ne parle pas du soutien inattendu que lui accorde ces jours-ci Alain Minc, le plus sarkozyste de nos économistes, même s’il s’agit là d’un signe fort et de la remontée de sa cote de popularité dans les rangs de l’opposition, les girouettes prenant toujours le sens du vent.

Non, il me semble que pendant la série d’attentats qui a endeuillé notre pays, il a su trouver non seulement les mots mais aussi la bonne attitude, prônant l’apaisement, le calme, et faisant la leçon à un Nicolas Sarkozy encore plus vibrionnant et insupportable qu’à son habitude.

Il a reconnu les qualités de l'exécutif

En premier lieu, il n’a pas hésité, contrairement à l’ancien président, enfermé dans sa posture de premier opposant, à rendre hommage à l’exécutif qui, a-t-il dit (à l’unisson avec les Français dans un sondage), a été "à la hauteur", preuve qu’il sait conserver un esprit libre sans pour autant avoir le sentiment de trahir son camp.

C’est l’un des attributs d’un chef d’État que d’être capable de ne pas céder à la pression militante et de reconnaître ses qualités à l’adversaire quand elles se sont manifestées de manière évidente.


Link al artículo de referencia  




Régis Debray : "le désert des valeurs fait sortir les couteaux"
Aude Lancelin. Par Aude Lancelin

Publié le 18-01-2015 à 10h25

Très tôt Régis Debray aura alerté contre l’oubli des valeurs républicaines. Alors qu’il publie "Un candide", il s’exprime sur l’unanimisme de l’après attentat, l’état préoccupant de notre pays ou encore l’attrait inédit du djihadisme.


Regis Debray

UCRANIA: INFORMACIÓN BÁSICA SITUACIONAL: BITACORA DE PERCY CAYETANO ACUÑA VIGIL.

  UCRANIA: INFORMACIÓN BÁSICA  SITUACIONAL.  Percy Cayetano Acuña Vigil. En este escrito se ha registrado información básica situacional con...