Sarkozy acusó a Hollande de haber querido evitar que la UMP cambie su nombre por el de "republicanos"
Nicolas Sarkozy defendió, martes 26 de mayo en un mitin en Le Havre (Seine-Maritime) el nombre que quería para su partido, apenas unas horas después de que la Justicia ha autorizado a la UMP para llamarse "Los republicanos ". El Tribunal de Primera Instancia de París desestimó la madrugada del martes por la tarde el llamamiento lanzado por los partidos o asociaciones de izquierda y 143 individuos, a impugnar la legalidad del nuevo nombre de su partido deseado por el ex jefe de la Estado
Sarkozy ha hablado contra la mayoría "de la izquierda, que son los primeros socialistas y luego los republicanos. Señaló que ellos son los republicanos antes gaullistas, liberales y centristas, y que cuando el general de Gaulle creó la Agrupación del Pueblo francés, esto no impidió que la gente se sienta profundamente francésa, aunque no fueran miembros del partido.
Sarkozy accuse Hollande d’avoir voulu empêcher l’UMP de se rebaptiser « Les Républicains »
Nicolas Sarkozy a défendu, mardi 26 mai, lors d'un meeting au
Havre (Seine-Maritime) le nom qu'il a voulu pour son parti, quelques
heures après que la justice a autorisé l'UMP à s'appeler « Les
Républicains ». Le tribunal des référés de Paris a rejeté mardi en début d'après-midi le recours lancé par des partis ou associations de gauche et 143 particuliers, visant à remettre en cause la légalité du nouveau nom voulu par l'ex-chef de l'Etat pour son parti.
L'ancien chef de l'Etat a accusé son prédécesseur — l'appelant de
manière ironique « Moi je » — d'avoir été à l'origine de cette procédure
judiciaire. « Je n'avais pas prévu que “Moi je” voudrait choisir le
nom de notre famille politique (…) A-t-on déjà vu un président de la
République fixer le nom du grand parti d'opposition ? », s'est-il indigné. «
Les gens qui n'ont pas de courage et pas de convictions, ils essaient
de gagner sur tapis vert en allant devant la justice. » « Manque de
chance ! », a-t-il ironisé, avant de s'adresser directement à M. Hollande : «
Je veux dire à “Moi je” qu'il peut être sûr de garder le nom de
socialiste, car, nous, on n'est pas socialistes, pas communistes et on
n'a pas envie de le devenir ! »
M. Sarkozy a lancé une nouvelle salve à l'encontre de la majorité : «
A gauche, ils sont d’abord socialistes et ensuite républicains. Nous,
nous sommes républicains avant d’être gaullistes, libéraux et
centristes. » « Quand le général de Gaulle avait créé le Rassemblement
du peuple français, cela n'empêchait pas les gens de se sentir
profondément français, même s'ils n'étaient pas adhérents du parti du
Général », a-t-il fait valoir.
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