Alain Juppé - Nicolas Sarkozy |
Je partage cette nouvelles de la politique française afin d'enregistrer les idées qui façonnent ma vision de l'avenir chez moi et ma circonstance particulière. Aujourd'hui, ce est le centre du monde et dans toute l'Europe vit autour de cette action à la suite de ces idées.
Referencia
Sarkozy s'incruste sur une photo historique. Et on ne voit que lui.
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Représentation de Mahomet : "L'islam a perdu de vue sa propre histoire"
L'Obs Peut-on dire que l’islam interdit la représentation du Prophète et, par extension, de toute figure humaine?
Sophie Makariou Il n’y a pas stricto sensu de condamnation de la figuration dans le Coran. Ce qui est illicite, c’est l’adoration des images et des idoles.
Dans l’arabe archaïque, qui est celui du Coran, on appelle idoles les objets tridimensionnels, donc les sculptures – les bétyles –, qui sont censées être le siège de divinités. Mais selon l’appartenance à l’une ou l’autre des familles musulmanes, les deux plus grandes étant le sunnisme et le chiisme, les modes d’interprétation peuvent différer.L'Islam a perdu de vue sa propre histoire
"Charlie Hebdo" : Alain Juppé, impeccable, fait la leçon à un Sarkozy fébrile
Décidément, Alain Juppé s’affirme au fil des mois comme le prétendant le plus sérieux et le plus légitime de la droite pour la présidentielle de 2017.
Je ne parle pas du soutien inattendu que lui accorde ces jours-ci Alain Minc, le plus sarkozyste de nos économistes, même s’il s’agit là d’un signe fort et de la remontée de sa cote de popularité dans les rangs de l’opposition, les girouettes prenant toujours le sens du vent.
Non, il me semble que pendant la série d’attentats qui a endeuillé notre pays, il a su trouver non seulement les mots mais aussi la bonne attitude, prônant l’apaisement, le calme, et faisant la leçon à un Nicolas Sarkozy encore plus vibrionnant et insupportable qu’à son habitude.
Il a reconnu les qualités de l'exécutif
En premier lieu, il n’a pas hésité, contrairement à l’ancien président, enfermé dans sa posture de premier opposant, à rendre hommage à l’exécutif qui, a-t-il dit (à l’unisson avec les Français dans un sondage), a été "à la hauteur", preuve qu’il sait conserver un esprit libre sans pour autant avoir le sentiment de trahir son camp.
C’est l’un des attributs d’un chef d’État que d’être capable de ne pas céder à la pression militante et de reconnaître ses qualités à l’adversaire quand elles se sont manifestées de manière évidente.
Link al artículo de referencia
Régis Debray : "le désert des valeurs fait sortir les couteaux"
Aude Lancelin. Par Aude Lancelin
Publié le 18-01-2015 à 10h25
Très tôt Régis Debray aura alerté contre l’oubli des valeurs républicaines. Alors qu’il publie "Un candide", il s’exprime sur l’unanimisme de l’après attentat, l’état préoccupant de notre pays ou encore l’attrait inédit du djihadisme.
Regis Debray
Je ne parle pas du soutien inattendu que lui accorde ces jours-ci Alain Minc, le plus sarkozyste de nos économistes, même s’il s’agit là d’un signe fort et de la remontée de sa cote de popularité dans les rangs de l’opposition, les girouettes prenant toujours le sens du vent.
Non, il me semble que pendant la série d’attentats qui a endeuillé notre pays, il a su trouver non seulement les mots mais aussi la bonne attitude, prônant l’apaisement, le calme, et faisant la leçon à un Nicolas Sarkozy encore plus vibrionnant et insupportable qu’à son habitude.
Il a reconnu les qualités de l'exécutif
En premier lieu, il n’a pas hésité, contrairement à l’ancien président, enfermé dans sa posture de premier opposant, à rendre hommage à l’exécutif qui, a-t-il dit (à l’unisson avec les Français dans un sondage), a été "à la hauteur", preuve qu’il sait conserver un esprit libre sans pour autant avoir le sentiment de trahir son camp.
C’est l’un des attributs d’un chef d’État que d’être capable de ne pas céder à la pression militante et de reconnaître ses qualités à l’adversaire quand elles se sont manifestées de manière évidente.
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Régis Debray : "le désert des valeurs fait sortir les couteaux"
Aude Lancelin. Par Aude Lancelin
Publié le 18-01-2015 à 10h25
Très tôt Régis Debray aura alerté contre l’oubli des valeurs républicaines. Alors qu’il publie "Un candide", il s’exprime sur l’unanimisme de l’après attentat, l’état préoccupant de notre pays ou encore l’attrait inédit du djihadisme.
Regis Debray
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